Les Dits d’Arès

Un livre d’André Bernard,
ISBN 978-2-911917-84-4
130 x 160 mm / 46 pages
10 €

+ 2€ de partage des
frais d’envoi

Sur le livre

Les dits sont nés du regard attentif, amusé et attendri d’André Bernard, porté aux objets prétendument inanimés, aux animaux, aux personnes, un univers où tout un chacun est doué de parole et n’hésite pas à en user pour discourir sur le monde et sa condition… Une approche poétique suscitée par la marche à pied ou la somnolence, mais pas que…

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Notre ami Américo Nunes est décédé

Américo nous a quitté le 20 janvier 2024. Son ami Freddy Gomez lui a rendu un très bel hommage dans la revue A contretemps, « Américo Nunes, par privilège » que nous reprenons ici en partie.

« Nos milieux », pour lui, recouvraient un territoire de minoritaires de diverses écoles – assez vaste en nuances – se situant dans une sorte de galaxie anti-autoritaire allant des anarchistes chassés de la Première Internationale par son Conseil général, sous influence de Marx, aux « gauchistes » de la Troisième, dénoncés comme tels, par Lénine, grand contempteur de conseillistes et d’esprits « antiparti ». Cette galaxie, dont Américo était une sorte d’entomologiste mi-amusé mi-consterné, englobait, sous le terme de « gauches communistes ».

il détestait l’appellation médiatico-policière d’ « ultragauche » –, tout ce qui, à ses yeux, et bien ou mal, avait contribué à maintenir vivants, contre tous les fossoyeurs de révolution, l’esprit d’utopie et la force critique de la subversion. Se définissant lui-même, toujours en souriant, comme « marxo-bakouninien », son inclinaison la plus profonde était triple : poétique, marxienne et anarchiste. Et tout ensemble, de quoi énerver les orthodoxes de toute chapelle.
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    Ovales

    Un livre de Julien Bal,
    ISBN 978-2-911917-82-0
    140 x 200 mm / 84 pages
    12 €

    + 2€ de partage des
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    Sur le livre

    Des figures énigmatiques, attachantes et fugaces cohabitent dans une douce folie générale : un régisseur à Disneyland obsédé par les musiques du parc, un rugbyman sur une plage, une paléontologue en pleine crise existentielle, un homme des cavernes en mal d’amour, des touristes plus ou moins satisfaits de leurs séjours, une mascotte en peluche dans une grotte, un ambassadeur cannibale et une équipe belge de rollers de vitesse.

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    Benoit Meunier présente « Désertiques » à l’Institut français de Prague

    Si vous êtes à Prague, Benoit Meunier présentera aujourd’hui à 15h30 son livre Désertiques (Ab irato éditions) à l’Institut français de Prague, dans le cadre de la célébration du livre français et de la littérature francophone.

    Avec, entre autres, des lectures et présentations d’ouvrages et de revues : Actualité éditoriale tchèque traduite en français, par Sára Vybíralová et Benoit Meunier, Ouvrages DésertiquesLe monde déferle en blanc, et Pas un geste par Benoit Meunier, Bertrand Schmitt et Jaromir Tylpt et Projet Triste Mesure par Klez Brandar et Marko Luth.
    Institut français de Prague – Štěpánská 35, 110 00 Praha 1


    Nuit polaire : un article de Cassiopée dans Le Coin du Polar (blog Médiapart).

    Nuit polaire est un thriller qui se passe en Antarctique, dans un futur proche, aux alentours de 2040. L’enquête d’Apollon Maubrey sur la disparition mystérieuse d’un homme emmène les lectrices et lecteurs au croisement d’enjeux scientifiques, géopolitiques et écologiques que nul n’aurait imaginé vingt ans plus tôt.

    « Nuit polaire » est un thriller comme je les aime. Écrit d’une plume nerveuse et musclée, sans temps mort, dans une atmosphère feutrée, presque en huis clos, il m’a tout de suite captivée. On est aux alentours de 2040, ce n’est pas loin et tout est plausible. En Antarctique, sur la base polaire où tout est soigneusement organisé, un homme a disparu. Il semblerait qu’il se soit suicidé mais son corps n’a pas été retrouvé. Bizarre…. Apollon Maubrey est envoyé sur place, officiellement pour le remplacer mais il est également chargé d’enquêter discrètement afin de comprendre ce qu’il s’est passé.

    Lire l’article en entier sur Le Coin du Polar (blog Médiapart)

    Tout savoir sur Nuit polaire !

    Je préfère l’ailleurs aux haillons de la distance

    Un livre de Guy Girard,
    ISBN 978-2-911917-83-7
    140 x 200 mm / 50 pages
    12 €

    + 2€ de partage des
    frais d’envoi

    Sur le livre

    Poèmes écrits pendant ou au retour de séjours plus ou moins longs en quelques pays d’Asie, d’Amérique du Nord ou d’Europe, ils se veulent des moments d’évidence lyrique, où se conjuguent, à l’observation d’une réalité tremblant sur ses lisières, les injonctions d’un imaginaire étirant ses latitudes et longitudes vers la ligne d’un horizon semblable à ce pont traversé en Corée, qui est une « marelle de glace / sous laquelle les truites ont le cœur en feu ».

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    [Notes et chroniques] : Désertiques de Benoit Meunier

    Benoit Meunier, Désertiques, Ab irato, 2022

    Trois nouvelles, trois déserts, trois êtres aussi étranges que solitaires, pour lesquels le temps et l’existence ne se mesurent pas à l’aune habituelle.

    Il y a d’abord celui qui vit (survit, végète ?) sur une montagne qu’il parcourt en tous sens, créant un complexe réseau de sentiers, et où les objets banals (mottes de terre, feuilles mortes, bâton…) deviennent des sortes de trésors ; une montagne dont il ne descend que pour en trouver une autre, infatigable Sisyphe randonneur, et avec laquelle il semble se confondre. Il y a ensuite le gardien d’une station-service où jamais ne s’arrête une automobile, espèce de Bagdad-Café bordé de rails vides et à l’horizon duquel ne passent que de rares individus, et dont le bâtiment, jusqu’au siège où est assis notre bonhomme, est envahi par un imbroglio de cactus qui l’empêche de bouger. Il ne vit que par son regard, son dialogue avec quelques bêtes et des souvenirs de jeux à caractère surréaliste. Et il y a celui qui, avec sa brouette, transporte inlassablement d’un tas à l’autre du minerai où se cachent des pépites d’or, dans un environnement totalement minéral, « sans oublier de faire une pause tous les trois mois pour boire un peu de l’eau qui sort du robinet de l’atelier, et respirer de temps en temps » ; lui aussi, traçant d’éternels sillons, soliloque et erre dans son monde, « citoyen de la mine » qui est sa vie, son horizon immuable.

    [Notes et chroniques] : Toyen d’Alain Joubert

    Alain Joubert, Toyen. Petits faits et gestes d’une très grande dame, Ab irato, 2022

    Comptée au nombre des surréalistes, née à Prague et figure majeure de l’avant-garde tchèque, Toyen (Maria Čerminová, 1902-1980) dépasse largement les limites des classifications. Créatrice avec Jindřich Štyrský de l’artificialisme et fondatrice du mouvement surréaliste tchèque, elle rejoint après la guerre le groupe français, liée d’une forte amitié avec certains de ses membres. L’exposition de ses œuvres (peintures, collages, dessins etc.) au Musée d’Art Moderne de Paris (jusqu’au 24 juillet 2022) témoigne de l’originalité de son œuvre.
    Cette originalité, Alain Joubert (1936-2021) en témoigne à sa manière, celle de quelqu’un qui, lui-même partie prenante dans les activités surréalistes des années 1950-1960, a connu Toyen dans sa vie quotidienne, dont il évoque ici « quelques moments », montrant combien sa « vie réelle » a pu influer sur sa « vraie vie », celle de l’art.

    Désertiques

    Un livre de Benoit Meunier,
    ISBN 978-2-911917-81-3
    115 x 165 mm / 96 pages
    12 €

    + 2€ de partage des
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    Sur le livre

    Comment s’échapper des pièges du quotidien – même insignifiants en apparence, comment trouver la sortie ?
    Désertiques est un triptyque de trois nouvelles situées chacune dans un espace/temps indéfini, où le protagoniste est en butte à la solitude et l’absurdité de l’existence, où il se trouve enfermé.
    Dans ces récits labyrinthiques, ponctués de rebondissements à la lisière du fantastique, un même dénouement libérateur verra le personnage s’échapper.
    Ce recueil est une réflexion poétique et ironique sur notre quotidien, et peut-être, aussi, un éloge de la fuite et de la révolte.

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    TOYEN, petits faits et gestes d’une très grande dame

    Un livre d’Alain Joubert,
    ISBN 978-2-911917-80-6
    110 x 150 mm / 46 pages
    9 €

    + 2€ de partage des
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    Sur le livre

    « On se ferait une idée incomplète de l’univers de Toyen si l’on voulait le reconstituer uniquement à  partir de ses toiles » rappelle Alain Joubert en citant André Breton. Il s’engouffre dans cette porte entrouverte par l’auteur du Manifeste du surréalisme pour évoquer avec délectation quelques moments de la vie de Toyen, quelques aspects de son comportement au jour le jour, quelques anecdotes auxquelles il s’est trouvé mêlé, de près ou de loin ; certain que la « vraie vie » de Toyen, celle de ses images, prenait d’abord racine dans sa vie quotidienne.
    « Et puisque le cinéma occupait une très large partie de son temps d’incubation poétique, je me permettrai, prévient Alain Joubert, de traiter mes souvenirs sur Toyen comme autant de courts métrages où son personnage apparaîtra de manière récurrente, à  la manière d’un Charlot ou d’un Buster Keaton dans les inoubliables bandes de l’âge d’or cinématographique. »
    Un livre plein d’umour sans H comme l’écrivaient les surréalistes, qui rend pleinement hommage à une artiste hors du commun.

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    Un Carnet d’excursion

    Un livre de Jacques Abeille,
    Anne-Marie et Jean-Pierre Guillon
    ,
    Un Carnet d’excursion
    Avec une présentation de Gilles Bounoure
    ISBN 978-2-911917-62-2
    50 pages
    11 €

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    Sur le livre

    Ce livre à la fois poétique et graphique est composé d’Un carnet d’excursion qui donne son titre au livre et du Manuel du vitrier précédé d’une présentation de Vincent Bounoure.
    Un carnet d’excursion est un poème en prose que Jacques Abeille acheva au début des années 1970, accompagné de dessins à l’encre de Chine qu’Anne-Marie Guillon.
    Le manuel du vitrier est un dialogue graphique initié en 1978 par Jean-Pierre Guillon avec Jacques Abeille, qui devint un jeu entre eux – le jeu du téléphone – qui dura quelques mois : à l’envoi d’un dessin, son destinataire répondait par un autre dessin réinterprété à sa manière, cette dernière interprétation servant de support à la réponse graphique suivante et ainsi de suite : Ce dialogue est ainsi composé d’une suite de 14 dessins qui se répondent les uns
    les autres.

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    Il y a un pays

    Un livre de Manuel Anceau
    Avec des dessins d’Eve Mairot
    Récits littéraires (nouvelles)
    ISBN 978-2-911917-78-3
    165 pages
    16 €

    + 2€ de partage des
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    Sur le livre

    Il s’agit d’un recueil de douze nouvelles qui oscillent entre rêve et réalité, dont les thèmes récurrents sont la solitude, la perte, la mise à l’écart.
    La plupart de ses protagonistes sont traversés par la souffrance aiguë causée par la perte d’un être cher, la solitude, l’ennui ou la fuite du temps qui passe, qui les éloignent davantage de leur bonheur perdu.
    Souvent le fantastique intervient auprès des personnages comme un élément salvateur qui les délivre de leur souffrance. Cette délivrance passe par la marginalité, la folie, uniques vecteurs qui permettent d’atteindre la « rive bienheureuse ».
    Un humour fulgurant vient souvent faire contrepoint face à la noirceur de ce qui nous est conté.

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    Jindřich Štyrský – Poésie

    Jindřich Štyrský,
    Poésie
    Poésie tchèque / édition bilingue
    ISBN 978-2-911917-71-2
    15 € / 86 pages

    + 2€ de partage des
    frais d’envoi

    Jindřich Štyrský est né en 1899 à Cermna (Autriche-Hongrie) et décédé en 1942 à Prague, en Tchécoslovaquie. Peintre, photographe, poète et théoricien, c’est l’un des cofondateurs (1934) et une figure majeure du groupe surréalisme tchèque de l’entre-deux guerres. En même temps que son amie la peintre Toyen, il a participé aux activités de l’association Devětsil, et en 1926, à Paris, avec Toyen, lancé un « isme » original : l’artificialisme.

    EVENEMENT – Il s’agit de la première édition en français
    d’un livre de Jindřich Štyrský, qui plus est en édition bilingue.
    La traduction et la présentation sont de Petr Král.

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    Balthazar Kaplan – Nuit polaire .

    Balthazar Kaplan,
    Nuit polaire
    Polar / Anticipation
    ISBN 978-2-911917-77-6
    23 € / 290 pages

    + 2€ de partage des
    frais d’envoi

    Nuit polaire est un thriller qui se passe en Antarctique, dans un futur proche, aux alentours de 2040. L’enquête d’Apollon Maubrey sur la disparition mystérieuse d’un homme emmène les lectrices et lecteurs au croisement
    d’enjeux scientifiques, géopolitiques et écologiques que nul n’aurait imaginé vingt ans plus tôt.

    Le récit évolue dans l’espace dangereux et confiné des bases polaires et celui sauvage du continent antarctique.

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    Alain Joubert, entre les lignes le cœur (décembre 2020)

    Article de Pierre Vandrepote sur L’Autre côté des nuages d’Alain Joubert (Ab irato, 2020), paru sur le site Poésie et peinture, l’impensé imaginaire en décembre 2O2O.

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    Enfance d’un poète qui ne s’est jamais pris pour un grand « pohète », à l’inverse de tant d’autres :
    « Non, ce qui m’amusait, ce qui séduisait mes oreilles aux aguets, c’était le bruit des mots, la sonorité des syllabes, le choc des dentales, le sifflement des sifflantes, le rythme des phrases, la violence ou la douceur avec laquelle on les prononçait… »
    L’enfant a grandi, enfin il a su aussi rester enfant, mais comme on dit, il a grandi. Il a aimé, il a gardé sa révolte, il a gardé son « noir », son désespoir et son espoir, ses espoirs, ses bonheurs, sa colère, la face inconnue de ses nuages :
    « et l’homme-oiseau ne fit
    ni une
    ni deux
    il fit tout simplement
    le tour de lui-même
    le tour du noir qui l’habitait
    de sa mémoire noire
    et à coups de bec et de pieds
    il fit voler le spectre
    en éclats
    et toutes les couleurs
    se répandirent en lui
    et hors de lui
    et l’aurore se sentit soudain
    boréale »

    L’oiseau donc vint à naître non sans vivacité. Prêt à rêver le monde, mais comme il n’était guère; amant de la beauté, mais ulcéré par l’injustice; amoureux de vivre et pourtant se méfiant de ce dont sont capables les humains, nos chers semblables. Il paraît qu’il faut apprendre, par exemple la patience :
    « Rentrer en soi pour sortir à pas de loup. »

    Difficile de se débarrasser du noir, d’autant que parfois il sied si bien. J’ai connu Alain Joubert tout de noir vêtu. Sa blondeur. La liberté des contradictions. On n’y insistera jamais assez. Le temps, la mort du temps; et si cela s’appelait l’instant ? Le jeune surréaliste qu’il est n’aime pas mettre sa poésie en avant, mais son désir d’un autre « être ensemble » est là, qui toujours affleure :
    « L’élan des amis qui dansent 
    Fait battre la paupière de l’amour
    Crispe le sang
    Et ruine les glaciers ardents »

    Lire la suite de l’article de Pierre Vandrepote sur le site Poésie et peinture, l’impensé imaginaire
    Tout savoir sur L’Autre côté des nuages d’Alain Joubert

    L’Autre côté des nuages d’Alain Joubert, dans En attendant Nadeau (novembre 2020)

    Collages et vérités cachées

    François-René Simon, En attendant Nadeau, 18 novembre 2020

    Alain Joubert, vous le fréquentez depuis plus d’un demi-siècle, vous croyez le connaître, vous avez lu et approuvé tout ce qu’il a publié ici, là, et même ailleurs, confidentiellement d’abord, ouvertement ensuite ! Et puis voilà que vous arrive un petit objet rectangulaire plein de poésie et même de… poèmes ! Ce n’est pas que vous n’en croyiez pas vos yeux, mais la surprise est grande.
    Certes, vous connaissez l’hommage d’Alain Joubert à Joyce Mansour publié par son ami et poète trop méconnu Pierre Peuchmaurd (à qui est dédié « Parce que c’était lui », une déclaration d’amitié montaigneuse), vous connaissez aussi cette « traduction optique », avec sa chère Nicole, des œuvres du Tchèque Roman Erben. Vous connaissez même sa réponse à l’enquête menée au lendemain de l’autodissolution parisienne du mouvement surréaliste (« Manomètre », dans Rien ou quoi ?, 1969). Mais il s’agissait en l’occurrence d’une mise à la ligne de la prose, pour mieux faire ressentir la mise au point.g qu’elle exprimait (l’écriture inclusive peut inclure d’autres notions que le genre).
    Mais, d’abord, la question du titre, si chère à l’auteur. L’autre côté des nuages est une invitation au merveilleux inconnu et sans doute aussi un petit clin d’œil à l’écrivain et dessinateur Alfred Kubin, auteur d’un conte onirique intitulé précisément L’autre côté, en même temps qu’un clin du second œil adressé par le cinéphile Joubert au Nosferatu de Murnau et à son cartouche tant prisé des surréalistes : « Quand il fut de l’autre côté du pont, les fantômes vinrent à sa rencontre »
    Sans parler du légendaire L’autre côté du miroir qu’on pourrait faire suivre de et ce qu’Alain, et non Alice, y trouva. Voilà que, dès le titre, nous sommes invités à franchir le mur du rationnel et à nous émerveiller du pouvoir des mots, de ce qu’ils charrient de sens et de sons, de leur faculté à s’immiscer dans les failles insoupçonnées du réel. « Les merveilleux nuages » chers à Baudelaire ne sont en fait que des portes à ouvrir dans le ciel de la poésie (Magritte aurait pu rendre visuelle, c’est-à-dire réelle, cette opération).

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