
[AUDIO] Arrache-coeur 979 (Radio campus Lille), sur « Il y a un pays » de Manuel Anceau (Nikola Delezcluse, Radio Paludes).
Jindřich Štyrský,
Poésie
Poésie tchèque / édition bilingue
ISBN 978-2-911917-71-2
15 € / 86 pages
Jindřich Štyrský est né en 1899 à Cermna (Autriche-Hongrie) et décédé en 1942 à Prague, en Tchécoslovaquie. Peintre, photographe, poète et théoricien, c’est l’un des cofondateurs (1934) et une figure majeure du groupe surréalisme tchèque de l’entre-deux guerres. En même temps que son amie la peintre Toyen, il a participé aux activités de l’association Devětsil, et en 1926, à Paris, avec Toyen, lancé un « isme » original : l’artificialisme.
EVENEMENT – Il s’agit de la première édition en français
d’un livre de Jindřich Štyrský, qui plus est en édition bilingue.
La traduction et la présentation sont de Petr Král.
François-René Simon, En attendant Nadeau, 18 novembre 2020
Alain Joubert, vous le fréquentez depuis plus d’un demi-siècle, vous croyez le connaître, vous avez lu et approuvé tout ce qu’il a publié ici, là, et même ailleurs, confidentiellement d’abord, ouvertement ensuite ! Et puis voilà que vous arrive un petit objet rectangulaire plein de poésie et même de… poèmes ! Ce n’est pas que vous n’en croyiez pas vos yeux, mais la surprise est grande.
Certes, vous connaissez l’hommage d’Alain Joubert à Joyce Mansour publié par son ami et poète trop méconnu Pierre Peuchmaurd (à qui est dédié « Parce que c’était lui », une déclaration d’amitié montaigneuse), vous connaissez aussi cette « traduction optique », avec sa chère Nicole, des œuvres du Tchèque Roman Erben. Vous connaissez même sa réponse à l’enquête menée au lendemain de l’autodissolution parisienne du mouvement surréaliste (« Manomètre », dans Rien ou quoi ?, 1969). Mais il s’agissait en l’occurrence d’une mise à la ligne de la prose, pour mieux faire ressentir la mise au point.g qu’elle exprimait (l’écriture inclusive peut inclure d’autres notions que le genre).
Mais, d’abord, la question du titre, si chère à l’auteur. L’autre côté des nuages est une invitation au merveilleux inconnu et sans doute aussi un petit clin d’œil à l’écrivain et dessinateur Alfred Kubin, auteur d’un conte onirique intitulé précisément L’autre côté, en même temps qu’un clin du second œil adressé par le cinéphile Joubert au Nosferatu de Murnau et à son cartouche tant prisé des surréalistes : « Quand il fut de l’autre côté du pont, les fantômes vinrent à sa rencontre »
Sans parler du légendaire L’autre côté du miroir qu’on pourrait faire suivre de et ce qu’Alain, et non Alice, y trouva. Voilà que, dès le titre, nous sommes invités à franchir le mur du rationnel et à nous émerveiller du pouvoir des mots, de ce qu’ils charrient de sens et de sons, de leur faculté à s’immiscer dans les failles insoupçonnées du réel. « Les merveilleux nuages » chers à Baudelaire ne sont en fait que des portes à ouvrir dans le ciel de la poésie (Magritte aurait pu rendre visuelle, c’est-à-dire réelle, cette opération).
Alain Joubert,
L’Autre côté des nuages
avec des dessins de Georges-Henri Morin
Ab irato, 2020,
ISBN 978-2-911917-76-9
16 € / 126 pages
Alain Joubert – a découvert le surréalisme en 1952 et a participé dès lors à toutes les activités surréalistes jusqu’à l’autodissolution du groupe en 1969. Il avait été frappé au sein du groupe du fait que les jeunes surréalistes se croyaient tenus de brandir un ou deux poèmes pour tout viatique. Pour pallier à une véritable inflation poétique, il décidait de ne pas montrer au groupe ses poèmes. L’essentiel de son activité consistant dès lors en réflexions théorique et politique, courts pamphlets, essais portant sur la nature du théâtre et du cinéma ; mais pas de poèmes… L’Autre côté des nuages réunit pour la première fois l’ensemble de son œuvre poétique, inédite pour l’essentiel.
EXTRAITS
Télécharger des extraits du livre (pdf)
Les Charmes
du chaosUn livre de
Guy Cabanel et
Mireille CangardelISBN 978-2-911917-73-8
126 pages, 14×20 cm
en couleurs15 euros
15 €
(+ 2€ de partage frais d’envoi)
Genre : Poésie
Les auteurs :
Guy Cabanel a participé dès 1958 aux activités du groupe surréaliste avec son ami Robert Lagarde qui illustre son premier ouvrage, À l’Animal noir. Ce recueil fut accueilli par André Breton en ces termes : « Ce langage, le vôtre, est celui pour lequel je garde à jamais le coeur de mon oreille. C’est celui dont j’ai attendu qu’il ouvre de nouvelles communications, vraiment sans prix et comme par voie d’étincelles, entre les êtres. » Depuis, Cabanel a publié et collaboré avec de nombreux artistes (Jorge Camacho, Adrien Dax, Jacques Lacomblez, Georges-Henri Morin, Mimi Parent, Jean-Claude Silbermann, Jean Terrossian, Toyen…).
Mireille Cangardel est née à Toulouse, parallèlement à son activité de professeure d’arts plastiques, elle a exposé ses œuvres, entre autres, à Paris, Barcelone, Perpignan, au Luxembourg, au Québec et dans la région de Toulouse où elle demeure.
Le livre :
Avec Les Charmes du chaos s’ouvre une nouvelle collaboration, celle du poète Guy Cabanel et de la peintre Mireillle Cangardel qui ne cache pas sa sympathie envers le surréalisme. Dès son plus jeune âge, celle-ci a connu le plaisir de peindre et n’a jamais cessé de s’y adonner. Loin d’imposer à son pinceau une quelconque direction, elle le laisse aller à sa guise, lui permettant ainsi de découvrir les merveilles d’un monde intérieur à la fois voluptueux, inquiétant et sublime. Cabanel, qui très tôt a reconnu dans son œuvre un monde commun au sien, ainsi qu’une inspiration et une ce qui dans son œuvre le touchait au-delà de l’œil.■
Patrice Beray
Poète, romancier, peintre, Jacques Abeille ne fait qu’une œuvre et elle est tout entière un appel à l’imagination créatrice. C’est de cela que nous entretiennent ses somptueuses Petites Proses plus ou moins brisées, prix Jean Arp 2015 de littérature francophone.
« Bien heureusement, il arrive à Jacques Abeille, au prosateur fort d’un lectorat de passionnés qu’il est devenu, de laisser paraître qu’il écrit des poèmes. Non que ses cycles romanesques, tôt entrepris si l’on songe aux Jardins statuaires (1982), son livre le plus connu, l’aient éloigné de quelque façon de l’imagination créatrice, c’est même tout le contraire.
Lire la suite « Blog Médiapart de Patrice Beray (29 février 2016) »
Sur Journal intime de Guy Cabanel et Jean Terrossian (Ab irato, 2015) :
Guy Cabanel, Jean Terrossian, Journal intime, 1943-1953, Ab irato, 2015
Le récit de rêve fut l’un des genres de prédilection des surréalistes. Guy Cabanel, né en 1926, ne déroge pas à cette prédilection en publiant ce Journal intime de jeunesse (1943-1953), qui annonce les activités surréalistes auxquelles il participera à partir de 1958.
Vingt textes, vingt poèmes narratifs qui, abordant tous les thèmes, toutes les situations oniriques, réservent des surprises telles que seul le sommeil peut en fournir. Campagne, mer, montagne, ville, mais surtout grottes, souterrains, couloirs mystérieux sont le théâtre d’événements que la vie éveillée ne pourrait ni provoquer ni supporter. Lire la suite « Notes et Chroniques (mai 2015) »
Guy Cabanel
Journal intime
avec des dessins de
Jean TerrossianISBN 978-2-911917-59-2
ISSN 2100-3246
72 pages, 12 euros
(+ 12€ de partage des frais d’envoi)
Genre : Poétique
Mots clés : rêve, étrangeté, altérité.
Auteurs : Guy Cabanel a participé dès 1958 aux activités du mouvement surréaliste avec son ami Robert Lagarde, qui illustre son premier ouvrage, À l’Animal Noir. Parmi ses dernières publications : Le Verbe flottant (Quadri, 2006), Soleils d’ombre sur des photographies de Jorge Camacho (Quadri, 2009), Dans la roue du paon (Les Hauts-Fonds, 2009), Hommage à l’Amiral Leblanc (Ab irato, 2009), l’Ivresse des tombes (Ab irato, 2011), Chants d’autres mémoires (éd. des deux corps, 2012), Les chemins qui zigzaguent (Sonambula, 2013).
Consulter la notice de Guy Cabanel sur Wikipedia .
Lire la suite « Guy Cabanel / Jean Terrossian – Journal intime »
La maquette est aux mains de l’imprimeur ! Mais d’ores-et-déjà, voici un visuel de la couverture avec ses deux rabats.
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Jacques Abeille,
Brune esclave de la lenteur
avec des illustrations de l’auteur
.
ISBN 978-2-911917-62-2
74 pages
12 €
(+ 2€ de partage des frais d’envoi)
Genre : Poésie
Mots clés : Altérité – barbare – écriture – étreinte – Lune – nuit – sauvagerie – sensualité – signe – trace.
L’auteur : Jacques Abeille est né à Lyon en 1942, il vit à Bordeaux depuis plus d’un demi-siècle. Il a commencé à participer aux activités surréalistes en 1964 et n’en a jamais démordu. Ses principaux romans – Les Jardins statuaires, Les Mers perdues, Les Barbares, La Barbarie – publiés aux éditions Attila constituent un cycle de contes fantaisistes. On trouve aux éditions des Vanneaux un ensemble de proses plus ou moins brisées (D’Ombre) accompagnées d’encres de Pauline A. Berneron.
Sous le pseudonyme de Léo Barthe, l’auteur a également commis quelques livres érotiques.
Jacques Abeille est réputé pour appartenir à la gent styliste des écrivains, pour apporter un soin délicat à la phrase qu’il extrait de son esprit et pose sur la page, et la plus crue des scènes romanesques devient un érotisme de syntaxe. Il est peintre aussi ; et ce livre est un va-et-vient entre l’objet peint (reproduit en une suite nommée « inscriptions lunaires ») et l’objet écrit ; se répétant « je peins », l’auteur transforme l’ensemble en une pensée sensuelle de la phrase célèbre d’Horace : ut pictura poesis. L’objet du désir de peindre, d’écrire, est une esclave, nue, offrant lascivement son corps à son futur maître, « tu cernes ma silhouette de craie / tu choisis pour maître / le plus modeste / j’abuserai dans la lenteur ». Une ardente relation s’établit alors, entre le sujet et l’objet, qui n’est pas sans rappeler celle qu’on perçoit dans le tableau Le Marché d’esclaves de Jean-Léon Gérome. Jacques Abeille appose à son phrasé un rythme patient, comme un maître qui examinerait attentivement sa future possession, jusqu’au plus profond de l’âme ; l’érotisme est lenteur. La phrase voile le corps de l’objet, les blancs typographiques dévoilent l’« offrande lumineuse ».
Lire la note de lecture sur le site des Cahiers critiques de poésie (CCP)
Lire la note de lecture des éditions de Nulle part (extrait : J’anticipais un souffle hors du commun dans la poésie de Jacques Abeille, fort de ces vents chauds qui m’avaient parcouru à la lecture du cycle des contrées et de ses romans érotiques. Brune esclave de la lenteur tient toutes ces promesses et d’autres encore. Versant poésie, j’y retrouve cette fois aussi un vocabulaire tendu d’essentiel, une plume habitée du corps, des images-forces).
Jacques Abeille,
Brune esclave de la lenteur
avec des illustrations de l’auteur
.
ISBN 978-2-911917-62-2
74 pages
12 €
(+ 2€ de partage des frais d’envoi)
Genre : Poésie
Mots clés : Altérité – barbare – écriture – étreinte – Lune – nuit – sauvagerie – sensualité – signe – trace.
L’auteur : Jacques Abeille est né à Lyon en 1942, il vit à Bordeaux depuis plus d’un demi-siècle. Il a commencé à participer aux activités surréalistes en 1964 et n’en a jamais démordu. Ses principaux romans – Les Jardins statuaires, Les Mers perdues, Les Barbares, La Barbarie – publiés aux éditions Attila constituent un cycle de contes fantaisistes. On trouve aux éditions des Vanneaux un ensemble de proses plus ou moins brisées (D’Ombre) accompagnées d’encres de Pauline A. Berneron.
Sous le pseudonyme de Léo Barthe, l’auteur a également commis quelques livres érotiques.
Jacques Abeille est réputé pour appartenir à la gent styliste des écrivains, pour apporter un soin délicat à la phrase qu’il extrait de son esprit et pose sur la page, et la plus crue des scènes romanesques devient un érotisme de syntaxe. Il est peintre aussi ; et ce livre est un va-et-vient entre l’objet peint (reproduit en une suite nommée « inscriptions lunaires ») et l’objet écrit ; se répétant « je peins », l’auteur transforme l’ensemble en une pensée sensuelle de la phrase célèbre d’Horace : ut pictura poesis. L’objet du désir de peindre, d’écrire, est une esclave, nue, offrant lascivement son corps à son futur maître, « tu cernes ma silhouette de craie / tu choisis pour maître / le plus modeste / j’abuserai dans la lenteur ». Une ardente relation s’établit alors, entre le sujet et l’objet, qui n’est pas sans rappeler celle qu’on perçoit dans le tableau Le Marché d’esclaves de Jean-Léon Gérome. Jacques Abeille appose à son phrasé un rythme patient, comme un maître qui examinerait attentivement sa future possession, jusqu’au plus profond de l’âme ; l’érotisme est lenteur. La phrase voile le corps de l’objet, les blancs typographiques dévoilent l’« offrande lumineuse ».
Lire la note de lecture sur le site des Cahiers critiques de poésie (CCP)
Lire la note de lecture des éditions de Nulle part (extrait : J’anticipais un souffle hors du commun dans la poésie de Jacques Abeille, fort de ces vents chauds qui m’avaient parcouru à la lecture du cycle des contrées et de ses romans érotiques. Brune esclave de la lenteur tient toutes ces promesses et d’autres encore. Versant poésie, j’y retrouve cette fois aussi un vocabulaire tendu d’essentiel, une plume habitée du corps, des images-forces).
Note de lecture de Brune esclave de la lenteur de Jacques Abeille, sur radio Paludes :
http://blog.paludes.fr/public/Radio2014/K26-Abeille-Critique.mp3
Les éditions Ab irato participent pour la deuxième année à La voie des indés : 60 librairies, 100 bibliothèques, 200 blogueurs explorent plus de 250 nouveautés de l’édition indépendante francophone !
Jacques Abeille, Brune esclave de la lenteur
Jacques Abeille est réputé pour appartenir à la gent styliste des écrivains, pour apporter un soin délicat à la phrase qu’il extrait de son esprit et pose sur la page, et la plus crue des scènes romanesques devient un érotisme de syntaxe. Il est peintre aussi ; et ce livre est un va-et-vient entre l’objet peint (reproduit en une suite nommée « inscriptions lunaires ») et l’objet écrit ; se répétant « je peins », l’auteur transforme l’ensemble en une pensée sensuelle de la phrase célèbre d’Horace : ut pictura poesis. L’objet du désir de peindre, d’écrire, est une esclave, nue, offrant lascivement son corps à son futur maître, « tu cernes ma silhouette de craie / tu choisis pour maître / le plus modeste / j’abuserai dans la lenteur ». Une ardente relation s’établit alors, entre le sujet et l’objet, qui n’est pas sans rappeler celle qu’on perçoit dans le tableau Le Marché d’esclaves de Jean-Léon Gérome. Jacques Abeille appose à son phrasé un rythme patient, comme un maître qui examinerait attentivement sa future possession, jusqu’au plus profond de l’âme ; l’érotisme est lenteur. La phrase voile le corps de l’objet, les blancs typographiques dévoilent l’« offrande lumineuse ».
par Jean-Pascal Dubost
Note de lecture de Jean Mertens, publiée sur le site des éditons de Nulle part
J’anticipais un souffle hors du commun dans la poésie de Jacques Abeille, fort de ces vents chauds qui m’avaient parcouru à la lecture du cycle des contrées et de ses romans érotiques. Brune esclave de la lenteur tient toutes ces promesses et d’autres encore. Versant poésie, j’y retrouve cette fois aussi un vocabulaire tendu d’essentiel, une plume habitée du corps, des images-forces.
Du mufle palpitant à la flamme d’un écho obscur, en passant par les fesses du ciel, de chaque page sourd une poésie féminine et douce, tendresse de plume alignée en autant d’hommages à l’innommée. Et cette lenteur que le titre annonce se fait tout à la fois habitat et passion. Lire la suite « Brune esclave de la lenteur, J. Abeille (juillet 2014) »
Un somnambule des deux rives : poésie et peinture
Jacques Abeille a construit son œuvre imaginaire, le Cycle des contrées, selon les règles d’une logique qui, pour ne pas être ordinaire, n’en est pas moins implacable, rigoureuse dans le moindre détail. Il est l’un de nos grands prosateurs, aujourd’hui trop rares, et son écriture ne peut que séduire tous les Amoureux de langue. Il n’est pas gratuit qu’il revendique, en dédicace du Veilleur du jour, Gérard de Nerval comme son ami le plus intime. Mais là où l’auteur d’Aurélia a vécu ce qu’il appelle « l’épanchement du songe dans la vie réelle », Jacques Abeille a suivi le chemin inverse : il transpose le réel dans l’imaginaire.
8 avril 2014, réalisation par l’atelier FrenchFourch de la sérigraphie de Jacques Abeille pour le tirage de tête de son livre “Brune esclave de la lenteur” aux éditions Ab Irato.
Alain Joubert
Le Passé du futur
est toujours présent
ISBN 978-2-911917-59-2
72 pages, 12 euros
Genre : Poétique fiction
Mots clés : Attentats – cyclistes – enquête – horreur – humour – nudisme – Paris – poésie – suspens.
L’auteur : Alain Joubert est né à Paris en 1936, où il vit
toujours. Il a participé à l’aventure du groupe surréaliste dans les
années 1950 jusqu’à son autodissolution en 1969. Parmi ses principales
publications : Le Mouvement des surréalistes ou le Fin mot de
l’histoire (2001) et Une goutte d’éternité (2007), chez Maurice
Nadeau ; Huit mois avec sursis avec Marc Pierret, Georges Sebbag
et Paul Virilio (Dauphin, 1978), Treize à table (plus deux) illustré
par Jean Terrossian (L’Écart absolu, 1998), L’Effet Miroir avec Nicole
Espagnol et Roman Erben (Ab Irato, 2008), et plus récemment Robert
Lagarde, du geste à la parole (Éditions Des deux corps, 2013).
Les illustrations sont de Barthélémy Schwartz. Né à Paris en 1963, Il a publié Le Rêveur captif chez l’Apocalypse (octobre 2012).Découvrir son site web : https://barthelemybs.wordpress.com/
Le Passé du futur est toujours présent est le cinquième titre de notre collection « Abiratures » dédiée à l’approche poétique.
A écouter, une critique du livre dans l’émission Paludes 687 (Radio Campus Lille, (106,6 FM) :http://blog.paludes.fr/public/Radio10/Joubert-LePasseDuFutur-Critique.mp3